Le Col de Joux Plane relie Morzine à Samoëns. L'étroite route du col est un bon exemple des nombreux passages de cols qui rendent les Alpes françaises si attractives pour les grimpeurs. Il règne ici peu de circulation car le détour par un col plus bas (Col de Gets) prend moins de temps. La plupart des utilisateurs motorisés de la route de Joux Plane sont des touristes. L'ascension depuis Samoëns décrite ici est plus dure que celle depuis l'autre versant. Au centre de Samoëns, on prend la route de la Piaz. Elle est pentue (8-11 %) et amène le cycliste, après un peu plus d'un kilomètre environ, au croisement en T avec la D354. Là on prend à gauche et débute alors la partie la plus facile du trajet, longue de 4 km, et d'une déclivité généralement de 7-8 %. Ce tronçon s'achève à l'intersection après Chantemerle. Là, il reste encore 6 km jusqu'au col. Ce sont les plus difficiles de tout le trajet, ayant une déclivité le plus souvent à 8-10 % et au début, le segment de 250 m le plus raide de toute la montée (13 %). Le col en lui-même n'est pas spectaculaire. A proximité et non loin de la route se trouve une auberge. Comme les nuages étaient bas lorsque j'y étais, je ne peux pas rajouter grand chose sur le panorama (traduit par Valentin0003).