C'est à vrai dire une ascension bien facile mais ce ne sera pas le cas pour quelqu'un arrivant à pied d'oeuvre déjà bien fatigué, comme je l'étais en 2015. Le parcours peut être divisé en deux parties. Durant les neuf premiers kilomètres la route file sans grandes courbes en direction du Nord à travers la vallée de Malsanne. Ici le pourcentage est modeste (en général 3%). Ensuite se profile un passage progressif vers une montée plus raide dans les trois ou quatre derniers kilomètres qui, par des grands zigzags conduisent au col. Cette partie semble moins raide qu'elle ne l'est réellement car le paysage ouvert offre moins de références. Entre-temps la déclivité est passé discrètement à 7-8% (traduit par Valentin0003).